Lithographies de la Galerie RDV

RDV est une galerie associative d'art contemporain fondée en 2007 et basée à Nantes. Ses objectifs sont la démocratisation de l'art contemporain et le soutien aux artistes.


Depuis 2008, l’espace d’art contemporain RDV propose aux artistes, ayant préalablement collaborés pour une exposition, de réaliser une lithographie en partenariat avec le Musée de l’imprimerie de Nantes. Les artistes ont carte blanche pour produire une lithographie avec comme seule contrainte le format et le passage unique sur pierre. À la suite de ce tirage, des retouches peuvent être apportées par l’artiste. Cette estampe, imprimée par pierre calcaire, est tirée à 25 exemplaires, sa valeur oscille entre 100 € et 300 €. En 2017, ce répertoire compte 58 lithographies.


« La lithographie, est un procédé d’impression basé sur l’incompatibilité qui existe entre un corps gras et l’eau. L’encre prend sur les parties grasses du dessin ; elle est refusée sur le reste de la pierre humidifiée. L’artiste dessine donc à l’envers à l’aide d’un crayon et d’une encre grasse sur la pierre (calcaire) grainée au préalable et le dessin n’est pratiquement pas modifiable. Le grainage permet la prise du dessin et une meilleure répartition de l’eau avant l’encrage. Le dessin terminé, on passe sur la surface une solution acide permettant une gravure légère et rendant la pierre moins poreuse. Après avoir mouillé la pierre, on passe le rouleau encreur : l’encre se dépose uniquement sur la partie recouverte par le dessin, le reste de la pierre étant protégé par l’eau. » Musée de l’imprimerie de Nantes


RDV
Association loi 1901
16 allée du Commandant Charcot, 44 000 Nantes
02 40 69 62 35    
coordination.rdv@gmail.com 
Siret : 450 772 074 00024
Ouvert du mercredi au samedi, de 14h à 19h


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Dans cette lithographie qui s’intitule Manhattan, la couleur utilisée est pâle et à la limite de la transparence, ce qui permet le basculement entre apparition et disparition qui renforce cette distanciation avec l’image.

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La lithographie reprend une photo de la série Microloft de l’artiste. Dans ce travail, il décortique des ordinateurs, des éléments high-tech pour y révéler leur structure interne et leur architecture essentielle. Puis, comme un architecte, Pierre Besson ajoute des modules, crée des extensions et invente un monde imaginé à défaut d’être imaginaire. On projette alors des paysages urbains où s’entremêlent des enchevêtrements de poutres et des morceaux résiduels de l’ordinateur. Comme on peut le voir sur la lithographie, Pierre Besson joue avec notre perception, il opère des contrepoints visuels et perturbe notre regard qui peine à synthétiser l’espace devant lui. On se demande ainsi si l’élément est au premier ou second plan.

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« Le Bonnet de bain » est un report d’image extraite de la vidéo Le Bonnet de bain. L’action filmée, enfiler un bonnet de bain à quatre mains, revisite une expérience que tout nageur a fait. Se faufiler tant bien que mal dans du silicone qui coince, arrache les cheveux, et emprisonne. Ajuster en même temps qu’extraire rapidement les mains. Deux temporalités, deux actions inversées. Une main reste prise comme pour accompagner le nageur.... Vidéo sur : www.reseaux-artistes.fr/dossiers/cecile-benoiton

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« Le système de sonorisation d’un concert ou d’une parade est suspendu à un engin de chantier et arrose la foule à la fête qui n’est pas visible. L’image glanée sur internet était dégradée car protégée, il a fallu l’extraire en la dessinant, ajouter des traits, inventer des effets de matière. Après numérisation et un traitement en trame l’image est à nouveau dégradée car décomposée en milliers de points plus grossiers, mais ceux-ci révèlent de nouveaux détails après le tirage par procédé lithographique. »

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La lithographie de Romain Boulay, reflète son exercice de peinture dans lequel il définit une distance, crée de nouvelles relations entre la peinture et le volume, l’oeil et la lumière. Il a produit différentes variantes de cette lithographie, aucune n’est identique.

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En musique on nomme accords transitifs ceux qui servent de liaison entre deux tonalités. « Cette lithographie est composée à partir d’une de mes photographies où un horizon se dessine en vides et en plein sur une étendue désertique. Pour déjouer les contraintes d’impression au musée de l’imprimerie, le blanc du papier devient un ciel immense. Volontairement tramée cette image est à voir de loin, le jeu de lignes, de constructions marque une frontière, une marche entre les signes. Elle s’inscrit dans une série en cours, composées d’éditions conçues à partir de photographies. »

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Dans cette lithographie, on retrouve le procédé qu’utilise le plasticien dans ses dessins, c’est à- dire que les objets représentés le sont sur des échelles décalées, ce qui installe un doute. On y perçoit davantage des tracés, se posant comme des «traits d’esprit», des fulgurances, des images subliminales résultant d’une activité automatique, comme l’écriture automatique qui permet la remontée des formes enfouies dans une mémoire originelle, noyau d’une expérience. L’artiste produit ses dessins dans des formats de grande dimension avec des échelles perturbantes, car ce qui est donné à voir n’est pas identifiable, même si la reconnaissance d’objets du quotidien est possible.

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« La notion de paysage qu’il soit virtuel ou suggéré, traverse ma production. Là, l’image choisie est un cadrage assez serré de l’orée d’un bois, où les arbres, les feuillages sont assez denses, avec beaucoup d’informations visuelles. Quand la proposition de produire une lithographie m’a été faite, il se trouve que je travaillais sur un projet d’impression jet d’encre en vert monochrome, d’une image tramée sur un matériau à base de ciment. J’ai poursuivi cette idée de production en la modifiant et en l’adaptant au nouveau support, celui du papier blanc, très présent. La couleur s’est imposée, celle d’un bleu chargé d’une pointe de magenta pour établir un rapport fort entre blanc et couleur. L’image a été inversée, passée en négatif. Image tramée, image en négatif où le ciel est coloré et la végétation blanche, comme surexposée, image familière et paisible mais pleine d’étrangeté et de mystère. »

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« Au musée de l’imprimerie, sur la pierre lithographique lourde, dense, dure, grise, lisse, je trace des sphères qui sont comme des planètes, des atomes, des météorites… Le noir du crayon s’écrase sur le grain de la pierre pour y dessiner des blocs de pierre qui paraitront graviter dans le grain du papier quand on réalisera les tirages. J’aime cette idée de dessiner, sur une pierre, des météorites. Elles graviteront dans un ciel de papier. Avant de passer à la phase d’impression, sur chaque feuille de papier, j’étale une tache de peinture, jaune, ou gris métallisé. Il n’y a pas deux taches semblables. Elles tracent sur le papier un écoulement, un mouvement, un flux sur lequel vient se superposer l’impression lithographique. Les météorites, les planètes, les atomes sont comme traversés par cette trace de peinture. Dans cette proposition, le dessin et la peinture ne sont pas liés, ne dépendent pas l’un de l’autre : le dessin n’enserre pas la couleur, la couleur ne donne pas chair au dessin. Le jeu qui se trame entre les deux tient du hasard et crée une lecture simultanée qui me semble stimulante. »

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Cette lithographie reprend la création d’une littérature pauvre, d’une écriture de basse intensité faite de documents divers édités par des machines innombrables, reçus de banque, tickets de caisses, tracts promotionnels, cartes de fidélités, cartes de visite, titres de transport, etc..., nourrit par une recherche poétique, sonore et plastique développée dans des projets individuels ou en collaboration avec des artistes d’autres horizons.

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« Voici comment cela c’est passé. J’ai été en bagnole, entre Le Mans et Château-Gontier. Je connais bien cette route. Je la prendre au moins une fois par semaine. Rien à signaler jusqu’à Grezen- Bouerre. À la sortie du village, quelqu’un avez érigé une série de potences au bords de la route. Des têtes de vaches dansaient dans le vent. « Wow, flying black cows ! » j’ai crié ! »

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La lithographie fait écho au film de sciencefiction de 1979 Alien, le 8ème passager, réalisé par Ridley Scott. Cette oeuvre démontre l’intérêt de l’artiste pour le cinéma de « science-fiction » à partir duquel il aime interpréter des images qui peuvent basculer à tout moment de l’abstraction à l’hyperréalisme.

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En utilisant différents médiums tels que la vidéo, l’installation ou le dessin, Jean-François Courtilat met en place des scénarii à l’esthétisme racoleur, mais toujours à double lecture : un aspect léger en apparence pour un questionnement sur l’humour, le corps, le temps qui passe. Ces banques iconographiques sont retranscrites en graphisme dans des univers et préoccupations propres à cet artiste : jeux de dualité, blessures personnelles physiques et mentales, rapports humains dans leur complexité, doutes, craintes de l’irréductible cheminement humain, ce sont bien souvent des bravades pathétiques que ces personnages nous donnent à voir dans ces scénettes.

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Le dessin fait référence dans un premier temps à un film populaire Les bronzés de 1978, six touristes en quête de soleil et d’aventures débarquent en Afrique dans un club de vacances. Si le sexe est la principale préoccupation de chacun, ils multiplient néanmoins avec les Gentils Organisateurs jeux et soirées stupides jusqu’au terme de ces huit jours de fausse gaîté et de vraie bêtise. Nous pouvons reconnaître Michel Blanc, acteur humoristiques dans cette série de personnage pathétique et grotesque. Nous avons ici un dessin d’une image filmée à l’accent comique. Nous pouvons dans un deuxième temps faire référence à l’histoire de l’art et trouver des similitudes avec une peinture de Giotto, Adam et Ève chassés du paradis avant la suppression des ajouts de censure par restauration. L’artiste mélange ici le tragique ou la fine pointe de l’esprit humain (sublime) et le comique ou le trivial (grotesque).

Parallèlement, le grotesque fait aussi référence à l’histoire de l’art puisque historiquement ce sont des personnages ou objets entremêlés d’ornements de fantaisie et d’arabesques, qui décoraient certains édifices de la Rome antique découverts à la Renaissance. Le personnage donne l’impression d’être sur un socle précieux puisque réalisé avec des paillettes, un élément baroque qui vient accentuer le grotesque par son ornementation et par l’incongruité de la situation. Le dessin quant à lui est réalisé avec des points plus ou moins gros, référence au domaine de l’impression et d’une trame. Cet homme est un grotesque, ses façons prêtent à rire. Nous sommes donc confrontés dans ce travail à un paradoxe cher à l’artiste.

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L’estampe met en scène des religieuses par le biais de douze représentations différentes de couleur ocre.

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Au-delà du mouchoir fait référence au mouchoir de Cholet. Le motif de la rose a été fait par le pliage d’un mouchoir.

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Tradition of excellence VI - Luger PO8 Parabellum, est un « développement de nouveaux concepts et installations fondés sur une analyse prospective de l’environnement de consommation et des mœurs des consommateurs ». La série Tradition of Excellence présente un ensemble d’armes dans lesquelles figurent des architectures d’habitats collectifs ou encore des monuments religieux.

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Sarah Debrat reprend les photographies de Russel Williams diffusé par la presse. « En 2010, le colonel de l’ « Air Force » canadienne Russell Williams est condamné pour deux meurtres au premier degré et quatre-vingt-deux cambriolages durant lesquels il s’empare de sous-vêtements féminins qu’il collectionne. À chaque pièce de lingerie répond deux photographies minutieusement mises en scène. [...] Un bertillonnage tout à fait contemporain sensiblement marqué par le voyeurisme aujourd’hui inhérent à notre condition de spectateur. » Le titre est un jeu de mots, « a spree » en anglais peut se référer à une succession d’actes frénétiques, on parle de shopping spree pour qualifier une séance un peu folle et exagérée ou d’un killing spree lorsqu’il s’agit de nombreux homicides perpétrés en très peu de temps. Le terme «spree» fait donc référence à la fois à la mode et à la mort. Le mot « summer » quant à lui renvoie aux collections de vêtements par saison. Le propos de Sarah Derat n’est pas tant de mettre en avant un fait sordide que de questionner notre rapport à l’image, à son utilisation et son sens.

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Cette lithographie s’inscrit dans la veine artistique de la série Raga du compost de l’artiste, qui se constitue de peintures alliant gestes horizontaux et pesanteur naturelle des essences colorées. Cette pesanteur crée des verticalités rythmiques de l’espace et de la profondeur vers leur propre musicalité sourde.

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La lithographie de la plasticienne reprend des exemples de son travail de collage et photomontage en papier coloré sous-verre qu’elle avait réalisé en 2009. On y voit des silhouettes, des visages ou encore des fragments de corps.

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Caroline Douillard définit sa lithographie comme une mise en relation du geste à une ligne graphique, répétitive, jusqu’à construire une forme dessinée.

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Cette lithographie dévoile l’un des dessins préparatoires de l’artiste réalisés à partir de maquette 1/10°. Ces maquettes et dessins permettent à Delphine Doukhan d’imaginer un espace scénique, les différents points de vue afférents, les déplacements et les jeux de personnages de ses vidéos et photographies. Ici, l’aboutissement est la lithographie et l’exploration du dessin, un déplacement s’opère entre le préparatif d’une œuvre, et son dévoilement au public.

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La lithographie de Vincent Mauger peut nous faire penser à un dessin numérique, on y retrouve ainsi le côté graphique que l’artiste affectionne.

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Pour leur deuxième collaboration, les deux artistes ont choisi pour la production de leur lithographie de travailler des thèmes qui leur sont communs : l’espace et la matérialité des choses. Un espace architectural est représenté par une forme reprenant une perspective. Un motif créé par une réserve mettant en avant le papier suggère l’image d’un mur construit en Placoplatre. La couleur fait également référence à ce matériau de construction.

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Se dégageant d’une esthétique brute, Calcaire est un dessin sur papier calque reporté sur la pierre lithographique. Il représente dans une mise en abîme graphique une coupe de calcaire, pierre utilisée pour l’impression lithographique. Par cette redondance de formes géométriques simples (un module triangulaire formé par la rencontre de trois lignes), Calcaire rappelle l’intérêt de Nikolas Fouré pour la répétition dans la réalisation de ses oeuvres. « Les protocoles de mes oeuvres sont souvent assez simples en termes d’assemblages mais par la multiplicité, ils peuvent devenir assez complexes. La répétition accordée à ces objets s’accompagne également d’un geste que l’on peut traduire par le performatif. »

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La lithographie Petites voitures en Savoie reprend un dessin que Thierry Frer a créé étant enfant. On y retrouve les codes artistiques chers à l’artiste tels que la narration et le souvenir, représentés ici sous forme de conversation entre les personnages de la BD.

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En Inde l’artiste redessine des logos d’entreprises indiennes qu’il expose sur son propre dos sous forme de tatouage au henné. Ainsi, il s’amuse à détourner des symboles de l’économie mondiale au profit de l’art. Cette lithographie reprend les logos et autres motifs de son travail en Inde.

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Cette lithographie reprend à quelques détails près un cuivre de 1588 conservé au Deutsches Museum de Munich. Le titre Bien que l’artillerie eût beaucoup progressé dès le XVIe siècle, on construisait encore des engins aussi primitifs que celui-là reprend la légende accompagnant une reproduction de cuivre trouvée dans un livre sur l’histoire de l’armement.

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Pour quoi faire ? est une version lithographique de la série de dessins déjà présentée à la galerie RDV lors de l’exposition Obsédés textuels en 2011. La technique est un lavis, que j’apprécie pour la subtilité de l’effet « peau de serpent » lorsque l’encre sèche sur pierre. » Jean-François Guillon

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Scales est une histoire de natures et d’espaces. Par l’animal, le minéral, le matériel, le spirituel, la présence et l’absence, une affirmation des fatalités en jeu dans la construction de l’identité. C’est une vision schématique des rapports de contextes et de ruissellement, une tentative de représenter l’individu à la fois dans son unicité et son appartenance à un schéma universel.

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Dans cette lithographie l’artiste joue avec la géométrie et l’équilibre qui sont des préoccupation récurrentes de sa pratique. Ici, la géométrie est représentée par un prisme sur lequel est tracée une bande noire qui vient perturber notre vision car celle-ci déséquilibre la forme géométrique.

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Cette lithographie est une représentation d’un pan de mur avec de la végétation. Sophie Hurié utilise des fantômes d’architecture et de corps qui jouent entre fiction et réalité.

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Depuis la fin des années 90, Philippe Hurteau s’interroge sur la question de l’écran, sa multiplicité, ses codes comme la flèche play, ou le smiley au sein de sa série Abscreen, compression d’abstract screen. L’image est prise dans un dispositif. Ce qui permet de montrer que l’on est devant une image d’image, jamais devant une image directe. Il s’approprie ces signes pour les détourner. La pierre de la lithographie est travaillée directement par l’artiste peintre, rayée, griffée créant des effets de couleurs et de matières.

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Cette lithographie est un transfert d’image avec une encre pailletée sur certaines d’entre elles.

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Cette lithographie s’apparente à un kit d’assemblage comme le laisse entendre les languettes placées autour de la clé de voûte, pour peut-être former à la fin un cube en 3D. Le titre de la lithographie clé de voûte fait aussi écho à l’élément qui permet la cohésion de multiples éléments, l’entourant dans une construction telle qu’une église.

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She’s so heavy fait référence à la chanson des Beatles, I want You (she’s so heavy). Elle décrit un état similaire à ce qui est ressenti lors de l’écoute de la chanson : un sentiment d’envahissement rayonnant et vibrant dans la distorsion et la répétition du son. Sa pauvreté en paroles et sa longueur permet de sentir des sensations plus extrêmes libres à l’interprétation de chacun. Cette chanson était dédiée à Yoko Ono, la femme de John Lennon qui était pour lui le « fantasme de la mère érotique », auquel il était réellement addict. Ce morceau est aussi connu comme l’avant-garde de ce qui créera le doom métal, style musical lourd, sombre et lent véhiculant une émotion indélébile de désespoir, dont les créateurs sont Black Sabbath et Pentagram. Dans les textes et l’iconographie de ce genre musical, la femme/ sorcière, tantôt sacrée, tantôt démoniaque, est souvent présentée comme un prédateur infernal. Dans I want you (she’s so heavy) y a une volonté de représenter cette idée récurrente de l’amour fusionnel et toxique provenant du fantasme féminin. Ceci a été repris dans le dessin qui semble vouloir hypnotiser ses proies. En effet, ce dessin déborde de la feuille avec ses trois fleurs/sexes voulant capturer le regard. Elles sont issues de Chatteland, le monde dévorant qui se développe atour d’une fiction épique du sexe féminin. Les « parques/moires » florales, constituées en trinité, attirent par leur concentricité notre attention vers le centre du papier qui semble se refermer comme un piège vampirique.

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En 2019, Chantal Raguet a été invitée à la Galerie RDV pour construire une exposition en duo avec l’artiste Pauline Gompertz. L’exposition s’appelait Wild cats Florida et présentait une vingtaine d’oeuvres de factures différentes : vidéo, textiles, aquarelles, dessins, objets mais qui dans l’installation dialoguaient ensemble. Il y avait 3 fausses peaux de bêtes que l’artiste a réalisées à partir de vêtements cousus, une peau de lionne Sophie, une de panthère Cindy et une de tigresse Sandra. Elles portent les noms de fauves dressés, des animaux de cirque qui ont réellement existé et fait carrière. Les dresseurs de fauves ont le droit de garder la peau de leurs animaux, il ne s’agit ni d’un tapis ni d’un trophée de chasse. Il se trouve que le lendemain du vernissage les chiens des galeristes ont traversé la galerie et visité l’exposition. Il s’est alors passé quelque chose d’étonnant : le lévrier Menthos au pelage bringé est venu se poser sur la peau tigrée, comme s’il avait conscience de leurs similitudes de robes ! Ce moment a vraiment marquée l’artiste et de cet instant est né la lithographie.

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Cette lithographie représente des coupes de charcuterie. Elle a été obtenue par le dépôt de tranches de charcuterie directement sur la pierre de lithographie. L’encre appliquée sur la pierre accroche le gras et nous permet cette empreinte.

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L’artiste travaille la géométrie et les images qu’elle véhicule. La composition est élémentaire, maîtrisée. Ses pièces se distinguent par leur apparente simplicité. A ces formes initiales, Mathieu Valade ajoute des éléments évocatoires comme des logos. Par cette conjugaison, il active la polysémie ; l’objet est un potentiel de sens. La lecture de ses oeuvres se montre plurielle : le visiteur construit ses regards et réflexions dans une libre interprétation.

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C'est lors de balades en voiture et à pied que Stéfan Tulepo trouve l’inspiration en photographiant toutes sortes d’ambiances et de détails qui peuvent l’interpeller. Il collecte également des objets et matériaux qu’il va ensuite retravailler dans son atelier. Il travaille des techniques classiques de sculpture d'extrusion sur des matériaux déjà utilisés. Le sculpteur met en relation les différentes strates de notre société contemporaine face aux formations géologiques. Ses oeuvres interrogent le banal et l’exception, l’obsolescence, la conservation d’un patrimoine, le régionalisme… Tel un conservateur de musée il extrait des pièces de ses collections de sculptures et photographies qu'il va lier par analogie et humour lors de ses expositions.

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« Comme plusieurs français le savent, le juron québécois est constitué d’une ensemble de mots liés à l’église catholique. Du design liturgique, la bouffe et même le Christ passent par maintes restructurations grammaticales de la langue. Un mot pourra par exemple devenir un verbe muni d’un préfixe. Si je dis « décrisse » à quelqu’un, je le traduis par : « fous le camp ». En anglais, on dira « Get the fuck out » qui est encore plus juste dans la vulgarité intrinsèque au juron québécois. » Guillaume Krick

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